"Il faut rechercher constamment dans tous les êtres, dans toutes les choses, dans toutes les expériences, le bien, l'excellent, le beau qui y sont contenus."
samedi 31 juillet 2010
vendredi 30 juillet 2010
Une mère infanticide...
Ce matin, un fait divers passe sur le journal...
Il s'agit de cette femme qui a étouffé ses 8 bébés pour ensuite les enterrer dans son jardin.
Beaucoup de personnes et notre société elle-même ont du mal à comprendre comment une mère peut passer par un tel acte...Bien sûr, idéalement une mère est censée représenter l'amour mais il y a aussi une autre réalité qui est du domaine de la vie et de ce qui peut nous échapper, c'est celle du psychisme, du dysfonctionnement du cerveau par survie, par protection, par instinct pur....
Chez l'animal, une femelle qui n'a pas assez de lait pour nourrir son petit ou qui se trouve en danger de par l'environnement ou encore qui sait qu'elle ne peut pas les élever va abandonner ou tuer ses petits.
Quelle différence y a t-il entre une femelle animale et un être humain?
L'instinct de survie est le même et ce qui va normalement faire la différence s'appelle Conscience.
Dans le cas présent, il s'agit d'une femme timide, introvertie, mal dans sa peau depuis toujours à cause de son poids ( D'ailleurs que porte-t-elle de si lourd traduit par son corps?) et certainement en grande souffrance mais n'ayant sans doute jamais exprimé le moindre de ses sentiments...( La campagne est dure en sentiments...) Nous voici devant toute une énergie enfermée sous forme d'émotions, de sensations auxquelles elle n'a pas accés pour nourrir une conscience, nous sommes devant une énergie pure si l'on peut dire ainsi, la même qui va mener un animal à agir selon son instinct.
Que vit intimement cette femme depuis peut-être toujours, que fut son enfance, son adolescence, l'empreinte de toute sa vie pour qu'elle ait pu ainsi se rendre insensible?
Pas d'amour, de tendresse ou encore l'handicap de ce frère, quoi encore pour ne pas pouvoir élever ces enfants? Que ne pouvait-elle pas ou ne pouvait-elle plus, de l'ordre de l'impossible dans un esprit bloqué?
Ces femmes ont besoin de prendre conscience de leurs gestes en étant aidées psychologiquement, en retrouvant leur humanité profonde et une fois ce travail de longue haleine effectué, leur solitude en face de leur acte sera plus lourd à porter que n'importe quel emprisonnement.....
Il s'agit de cette femme qui a étouffé ses 8 bébés pour ensuite les enterrer dans son jardin.
Beaucoup de personnes et notre société elle-même ont du mal à comprendre comment une mère peut passer par un tel acte...Bien sûr, idéalement une mère est censée représenter l'amour mais il y a aussi une autre réalité qui est du domaine de la vie et de ce qui peut nous échapper, c'est celle du psychisme, du dysfonctionnement du cerveau par survie, par protection, par instinct pur....
Chez l'animal, une femelle qui n'a pas assez de lait pour nourrir son petit ou qui se trouve en danger de par l'environnement ou encore qui sait qu'elle ne peut pas les élever va abandonner ou tuer ses petits.
Quelle différence y a t-il entre une femelle animale et un être humain?
L'instinct de survie est le même et ce qui va normalement faire la différence s'appelle Conscience.
Dans le cas présent, il s'agit d'une femme timide, introvertie, mal dans sa peau depuis toujours à cause de son poids ( D'ailleurs que porte-t-elle de si lourd traduit par son corps?) et certainement en grande souffrance mais n'ayant sans doute jamais exprimé le moindre de ses sentiments...( La campagne est dure en sentiments...) Nous voici devant toute une énergie enfermée sous forme d'émotions, de sensations auxquelles elle n'a pas accés pour nourrir une conscience, nous sommes devant une énergie pure si l'on peut dire ainsi, la même qui va mener un animal à agir selon son instinct.
Que vit intimement cette femme depuis peut-être toujours, que fut son enfance, son adolescence, l'empreinte de toute sa vie pour qu'elle ait pu ainsi se rendre insensible?
Pas d'amour, de tendresse ou encore l'handicap de ce frère, quoi encore pour ne pas pouvoir élever ces enfants? Que ne pouvait-elle pas ou ne pouvait-elle plus, de l'ordre de l'impossible dans un esprit bloqué?
Ces femmes ont besoin de prendre conscience de leurs gestes en étant aidées psychologiquement, en retrouvant leur humanité profonde et une fois ce travail de longue haleine effectué, leur solitude en face de leur acte sera plus lourd à porter que n'importe quel emprisonnement.....
lundi 26 juillet 2010
Je vais apprendre...
Je vais apprendre la Vie, je vais surtout apprendre à vivre différemment, je vais devoir affronter le Mal, je vais faire face à la grande solitude, vous savez, cette énorme bulle dans laquelle on a le sentiment de se noyer, aspiré par le fond et puis un jour, doucement, on finit par s'en faire une amie.
Je vais apprendre à lâcher-prise en me laissant conduire en voiture en tant que voyageur dans la confiance du conducteur et du ronronnement de la voiture, à travers ces instants où tout bouge et passe autour de soi alors que nous sommes là, immobile et sans bouger, instants, moments où tout peut émerger des profondeurs de soi et venir nous surprendre....
Je vais aussi apprendre à me détacher des objets et des choses me rendant très vite compte que cela ouvre mon coeur au grand jour en le libérant.
Je vais rencontrer la passion, une passion qui vous dévore et vous fait agir malgré vous comme une porte que l'on veut enfoncer à tout prix, un passage que l'on veut absolument forcer, un véritable défi à l'existence personnelle, alors qu'il s'agit de répondre absolument à ce qui monte en soi de si fort, d'insurmontable presque, puissant, qui va trop vite , excite et peut gâcher bien souvent la vie...C'est alors une énergie d'une telle puissance...
Je vais apprendre à dire "je t'aime" , eh oui, il faut du courage la première fois pour oser le dire alors qu'on ne vous l'a jamais dit...
Apprendre à oser dire Non sans peur de me sentir rejetée, apprendre tout simplement à se respecter.
Le pardon devient facile lorsque le coeur est ouvert à l'amour et à la compréhension de ce que vit l'autre, souvent enfermé dans sa souffrance, son ressentiment ou même sa haine...et alors bien souvent inconscient du mal qu'il fait.
Les années vont passer et je vais ainsi reconstruire, recréer ma vie comme aprés un déluge ou une guerre, car avant ma première rencontre, je n'en ai pas parlé mais j'avais du traverser un véritable anéantissement
Ce fut la chance de ma vie pour redevenir Vivante.
Avant de vous quitter pour aujourd'hui, je vous propose de penser très fort intimement à ce mot Amour, entendez-vous le dire en laissant votre mental de côté, et vous observerez peut-être que tout peut basculer en quelques secondes: envahi alors par le calme, le détachement, éloigné des émotions primaires, une sécurité arrive du plus profond de nous-même, là où se mêlent paix, confiance, sensation merveilleuse de plénitude intérieure....
A trés bientôt....
Je vais apprendre à lâcher-prise en me laissant conduire en voiture en tant que voyageur dans la confiance du conducteur et du ronronnement de la voiture, à travers ces instants où tout bouge et passe autour de soi alors que nous sommes là, immobile et sans bouger, instants, moments où tout peut émerger des profondeurs de soi et venir nous surprendre....
Je vais aussi apprendre à me détacher des objets et des choses me rendant très vite compte que cela ouvre mon coeur au grand jour en le libérant.
Je vais rencontrer la passion, une passion qui vous dévore et vous fait agir malgré vous comme une porte que l'on veut enfoncer à tout prix, un passage que l'on veut absolument forcer, un véritable défi à l'existence personnelle, alors qu'il s'agit de répondre absolument à ce qui monte en soi de si fort, d'insurmontable presque, puissant, qui va trop vite , excite et peut gâcher bien souvent la vie...C'est alors une énergie d'une telle puissance...
Je vais apprendre à dire "je t'aime" , eh oui, il faut du courage la première fois pour oser le dire alors qu'on ne vous l'a jamais dit...
Apprendre à oser dire Non sans peur de me sentir rejetée, apprendre tout simplement à se respecter.
Le pardon devient facile lorsque le coeur est ouvert à l'amour et à la compréhension de ce que vit l'autre, souvent enfermé dans sa souffrance, son ressentiment ou même sa haine...et alors bien souvent inconscient du mal qu'il fait.
Les années vont passer et je vais ainsi reconstruire, recréer ma vie comme aprés un déluge ou une guerre, car avant ma première rencontre, je n'en ai pas parlé mais j'avais du traverser un véritable anéantissement
Ce fut la chance de ma vie pour redevenir Vivante.
Avant de vous quitter pour aujourd'hui, je vous propose de penser très fort intimement à ce mot Amour, entendez-vous le dire en laissant votre mental de côté, et vous observerez peut-être que tout peut basculer en quelques secondes: envahi alors par le calme, le détachement, éloigné des émotions primaires, une sécurité arrive du plus profond de nous-même, là où se mêlent paix, confiance, sensation merveilleuse de plénitude intérieure....
A trés bientôt....
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relation d'amour,
respect,
solitude
André Rochais
"Comme une longue Caravane venue des frontières de l'animalité et cheminant vers son point oméga de réussite...
...Chacun a sa place à tenir et son rôle à jouer dans cette grande Caravane humaine et dans la symphonie du Monde."
jeudi 22 juillet 2010
Proverbe chinois
"Si chaque homme chaque jour posait une fleur sur le chemin de son prochain,
les routes de la Terre seraient tellement plus agréables.
les routes de la Terre seraient tellement plus agréables.
mercredi 21 juillet 2010
L'Amour vient à moi....
Un homme passe alors dans ma vie...
Un flash, une apparition, un impact qui marque votre chair en une seconde comme quelque chose d'inévitable, ce sentiment étrange d'être aimantée....
A ce moment là de ma vie, je vais foncer dans une quête démesurée, une quête des émotions humaines, une quête d'absolu dans mon esprit et dans mon corps, une recherche de Vérité, un chemin sans limite qui va venir s'ouvrir à moi tel un océan sur lequel je vais naviguer pendant des années, naviguer sur un radeau symbolique auquel je vais me cramponner jusqu'au jour où je vais pouvoir enfin tenir la barre de mon navire pour accoster sur la terre ferme et ensuite traverser le désert à la recherche de ma terre promise...
C'est donc ainsi que je vais me perdre d'une certaine manière, affronter, traverser les émotions humaines en moi et en face de moi, défrichant et labourant la belle terre dont j'étais pétrie sans le savoir.
Cette terre qui est mienne, je vais la défricher avec rigueur, rang aprés rang, je vais l'enrichir, la pétrir, la retourner, la labourer et puis récolter...Je vais me rencontrer moi-même...
Mon seul moteur va être l'amour, l'amour tout d'abord pour cet homme, un amour qui va se révéler ensuite transformateur grâce à la confiance et à la patience. En effet, je vais donner tout l'amour dont je suis alors capable et grâce à cette relation, je vais aussi avoir accès à mes sensations internes profondes de même que toute une connaissance basée sur l'observation et l'expérience.
Je suis alors dans une quête d'autonomie et de liberté intérieure et la vie vient m'offrir ce qui est nécessaire pour cela, je suis installée dans un véritable système de recherche de moi-même.
A l'écoute constante de mon corps suit une réflexion entre vécus intérieur et extérieur, en quelque sorte, je faisais un pas dehors, je revenais dedans pour le goûter, le discerner et je refaisais un pas dehors, tout cela dans un va et vient constant qui régulait de façon assez parfaite mon équilibre, mon énergie de vie.
J'ouvre mon coeur à la Vie et je sens une force infinie monter en moi.
Un flash, une apparition, un impact qui marque votre chair en une seconde comme quelque chose d'inévitable, ce sentiment étrange d'être aimantée....
A ce moment là de ma vie, je vais foncer dans une quête démesurée, une quête des émotions humaines, une quête d'absolu dans mon esprit et dans mon corps, une recherche de Vérité, un chemin sans limite qui va venir s'ouvrir à moi tel un océan sur lequel je vais naviguer pendant des années, naviguer sur un radeau symbolique auquel je vais me cramponner jusqu'au jour où je vais pouvoir enfin tenir la barre de mon navire pour accoster sur la terre ferme et ensuite traverser le désert à la recherche de ma terre promise...
C'est donc ainsi que je vais me perdre d'une certaine manière, affronter, traverser les émotions humaines en moi et en face de moi, défrichant et labourant la belle terre dont j'étais pétrie sans le savoir.
Cette terre qui est mienne, je vais la défricher avec rigueur, rang aprés rang, je vais l'enrichir, la pétrir, la retourner, la labourer et puis récolter...Je vais me rencontrer moi-même...
Mon seul moteur va être l'amour, l'amour tout d'abord pour cet homme, un amour qui va se révéler ensuite transformateur grâce à la confiance et à la patience. En effet, je vais donner tout l'amour dont je suis alors capable et grâce à cette relation, je vais aussi avoir accès à mes sensations internes profondes de même que toute une connaissance basée sur l'observation et l'expérience.
Je suis alors dans une quête d'autonomie et de liberté intérieure et la vie vient m'offrir ce qui est nécessaire pour cela, je suis installée dans un véritable système de recherche de moi-même.
A l'écoute constante de mon corps suit une réflexion entre vécus intérieur et extérieur, en quelque sorte, je faisais un pas dehors, je revenais dedans pour le goûter, le discerner et je refaisais un pas dehors, tout cela dans un va et vient constant qui régulait de façon assez parfaite mon équilibre, mon énergie de vie.
J'ouvre mon coeur à la Vie et je sens une force infinie monter en moi.
Khalil Gibran
"Entre les rivages des océans et le sommet de la plus haute montagne est tracée une route secrète que vous devez absolument parcourir avant de ne faire qu'un avec les fils de la Terre."
dimanche 18 juillet 2010
Je chemine doucement...
Me revoilà!
Le temps des moissons est arrivé, j'ai devant chez moi un magnifique champ de blé et c'est toujours un moment trés fort lorsque cet engin énorme qu'est la moissonneuse-batteuse arrive, comme un monstre qui dévore tout sur son passage dans un bruit sourd et répétitif....
A chaque fois, c'est comme si l'été était déjà fini, plus rien n'est pareil aprés, c'est une sensation bien étrange.
Comme je vous le disais plus haut, je vais suivre cet enseignement de vie et par le fait que j'y aspire, les évènements et les rencontres vont venir à moi.
Je vais commencer par faire le tri dans ma tête, je vais apprendre à réfléchir par moi-même, eh oui, je n'avais alors pas d'avis personnel déterminé, éduquée que j'avais été de manière trés sélective et carrée, manière qui, bien sûr, ne permettait aucune contradiction...
Je vais observer comment je fonctionne et je vais trés vite me rendre compte que je ne peux pas intervenir dans une conversation à cause de ma mémoire qui ne me restitue pas en temps voulu ce dont j'ai besoin alors que le savoir est là, un peu comme en toile de fond. je vais donc me taire et écouter et tout va devenir un enseignement merveilleux.
Lorsque je n'étais pas d'accord sur ce qui se disait, souvent par des personnes trés sûres d'elles, je retrouvais mon calme ( j'avais sur le moment des tensions corporelles trés fortes) dans ma solitude et je retraitais la situation de l'intérieur. C'est alors que je compris l'importance des mots, tous ces mots qui partent, qui valsent dans tous les sens et peuvent aussi faire tant de mal.
En réalité, ce qui se passait alors, c'est que les mots utilisés par ces personnes n'avaient pas le même sens pour moi, d'où cette colère silencieuse exprimée par mon corps que je n'avais jamais ressentie auparavant, c'était en effet comme s'ils ne venaient pas du même endroit...Je vais comprendre plus tard pourquoi.
J'étais devenue avide de comprendre la vie , de comprendre l'Homme, j'avais vraiment besoin de savoir, je ressentais en moi comme en arrière-plan une intelligence, un raisonnement et une logique qui ne demandaient qu'à se vivre, c'était, oui, comme une mémoire à laquelle je n'avais pas encore accés.
J'allais ainsi peu à peu prendre conscience du monde qui m'entourait.
Je vais obéir à cette vie et marcher, marcher sans savoir où elle allait me conduire....
A trés bientôt pour la suite...
Le temps des moissons est arrivé, j'ai devant chez moi un magnifique champ de blé et c'est toujours un moment trés fort lorsque cet engin énorme qu'est la moissonneuse-batteuse arrive, comme un monstre qui dévore tout sur son passage dans un bruit sourd et répétitif....
A chaque fois, c'est comme si l'été était déjà fini, plus rien n'est pareil aprés, c'est une sensation bien étrange.
Comme je vous le disais plus haut, je vais suivre cet enseignement de vie et par le fait que j'y aspire, les évènements et les rencontres vont venir à moi.
Je vais commencer par faire le tri dans ma tête, je vais apprendre à réfléchir par moi-même, eh oui, je n'avais alors pas d'avis personnel déterminé, éduquée que j'avais été de manière trés sélective et carrée, manière qui, bien sûr, ne permettait aucune contradiction...
Je vais observer comment je fonctionne et je vais trés vite me rendre compte que je ne peux pas intervenir dans une conversation à cause de ma mémoire qui ne me restitue pas en temps voulu ce dont j'ai besoin alors que le savoir est là, un peu comme en toile de fond. je vais donc me taire et écouter et tout va devenir un enseignement merveilleux.
Lorsque je n'étais pas d'accord sur ce qui se disait, souvent par des personnes trés sûres d'elles, je retrouvais mon calme ( j'avais sur le moment des tensions corporelles trés fortes) dans ma solitude et je retraitais la situation de l'intérieur. C'est alors que je compris l'importance des mots, tous ces mots qui partent, qui valsent dans tous les sens et peuvent aussi faire tant de mal.
En réalité, ce qui se passait alors, c'est que les mots utilisés par ces personnes n'avaient pas le même sens pour moi, d'où cette colère silencieuse exprimée par mon corps que je n'avais jamais ressentie auparavant, c'était en effet comme s'ils ne venaient pas du même endroit...Je vais comprendre plus tard pourquoi.
J'étais devenue avide de comprendre la vie , de comprendre l'Homme, j'avais vraiment besoin de savoir, je ressentais en moi comme en arrière-plan une intelligence, un raisonnement et une logique qui ne demandaient qu'à se vivre, c'était, oui, comme une mémoire à laquelle je n'avais pas encore accés.
J'allais ainsi peu à peu prendre conscience du monde qui m'entourait.
Je vais obéir à cette vie et marcher, marcher sans savoir où elle allait me conduire....
A trés bientôt pour la suite...
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mardi 13 juillet 2010
Les mères porteuses...
Avant de vous retrouver sur mon chemin personnel, j'ai eu l'occasion cette semaine de regarder un reportage sur les "mères porteuses" en Inde...
Des couples d'américains particulièrement sollicitent ces femmes qui acceptent de jouer ce rôle par manque d'argent pour nourrir leur famille ou encore acheter une petite maison.
Nous sommes devant une fécondation in vitro, suivie de neuf mois de gestation pendant lesquels la mère porteuse dit bien ne pas tenir compte du bébé afin de ne pas s'attacher à lui.
Je vais à nouveau poser la question: où est l'amour? Où est cette force de vie maternelle dont il a tant besoin?
Lorsque l'on connaît l'impact de l'empreinte dés la conception d'un enfant, lorsque l'on sait que le système nerveux de tout être humain se structure autour de l'oreille dés le quatrième mois in-utero, l'ouie étant alors développée, cela signifie que peut venir s'impressionner en tant que corps vivant, corps sonore et de manière progressive tout Son se propageant alors par l'intermédiaire du milieu intra-liquidien. ( L'eau étant support de mémoire)
Autrement dit, le foetus va recevoir toutes sortes de fréquences vibratoires sonores qui vont venir le traverser pouvant ainsi s'impressionner sur son système nerveux et psychique pour être ensuite conservées en mémoire au sein même de son essence. Qui dit essence dit sensation.
On peut constater l'importance de l'environnement immédiat de toute grossesse sans parler du schéma familial psychologique de la mère porteuse et des vibrations que ce foetus va percevoir d'elle. Ce lien, pour moi, sera à jamais indélibile et cette activité vibratoire perçue in utero deviendra la base même de la sensation et la source future pour sa vie de joie ou de souffrance, car il ne peut, bien sûr, se soustraire à cette empreinte.
La vie est là, plus forte que tout et lorsqu'une femme ne peut avoir d'enfant, ne doit-elle pas trouvé un sens à cela? Ne doit-elle pas chercher à comprendre, n'a t-elle pas à donner un autre sens à sa vie? Ne peut-elle pas adopter ou encore se mettre au service de la vie en créant d'une autre manière? Pourquoi cet égoïsme à tout prix et grâce à l'argent au détriment d'un petit être conçu sans amour qui aura sans doute plus tard beaucoup de mal à trouver sa force de vie?
La vie peut se réussir de tant d'autres manières différentes...
Des couples d'américains particulièrement sollicitent ces femmes qui acceptent de jouer ce rôle par manque d'argent pour nourrir leur famille ou encore acheter une petite maison.
Nous sommes devant une fécondation in vitro, suivie de neuf mois de gestation pendant lesquels la mère porteuse dit bien ne pas tenir compte du bébé afin de ne pas s'attacher à lui.
Je vais à nouveau poser la question: où est l'amour? Où est cette force de vie maternelle dont il a tant besoin?
Lorsque l'on connaît l'impact de l'empreinte dés la conception d'un enfant, lorsque l'on sait que le système nerveux de tout être humain se structure autour de l'oreille dés le quatrième mois in-utero, l'ouie étant alors développée, cela signifie que peut venir s'impressionner en tant que corps vivant, corps sonore et de manière progressive tout Son se propageant alors par l'intermédiaire du milieu intra-liquidien. ( L'eau étant support de mémoire)
Autrement dit, le foetus va recevoir toutes sortes de fréquences vibratoires sonores qui vont venir le traverser pouvant ainsi s'impressionner sur son système nerveux et psychique pour être ensuite conservées en mémoire au sein même de son essence. Qui dit essence dit sensation.
On peut constater l'importance de l'environnement immédiat de toute grossesse sans parler du schéma familial psychologique de la mère porteuse et des vibrations que ce foetus va percevoir d'elle. Ce lien, pour moi, sera à jamais indélibile et cette activité vibratoire perçue in utero deviendra la base même de la sensation et la source future pour sa vie de joie ou de souffrance, car il ne peut, bien sûr, se soustraire à cette empreinte.
La vie est là, plus forte que tout et lorsqu'une femme ne peut avoir d'enfant, ne doit-elle pas trouvé un sens à cela? Ne doit-elle pas chercher à comprendre, n'a t-elle pas à donner un autre sens à sa vie? Ne peut-elle pas adopter ou encore se mettre au service de la vie en créant d'une autre manière? Pourquoi cet égoïsme à tout prix et grâce à l'argent au détriment d'un petit être conçu sans amour qui aura sans doute plus tard beaucoup de mal à trouver sa force de vie?
La vie peut se réussir de tant d'autres manières différentes...
jeudi 8 juillet 2010
Cet amour qui nous transporte...
Oui, c'est vrai, j'ai envie de rebondir sur ces mots que je viens d'utiliser précédemment, ce fluide magnifique qu'est l'amour et sans lequel la vie n'aurait aucune saveur.
L'amour rend heureux, il fait vibrer de l'intérieur, il rend libre et joyeux, léger, il accompagne le partage, l'écoute, il est don de toutes choses, il est créateur et force de vie, il est confiance et spontanéité, enfin il est lumière et sagesse. Il n'y a pas vraiment de mots pour le définir, il est tout, il se vit et parfois quand il est trop fort, il peut même faire mal....Il est la Vie, il est respect, il est tout puissant.
Sans avoir connu l'amour, sans avoir été touché par lui, on ne peut pas faire la différence entrele bien et le mal, entre le crime et la bonne action, entre le mensonge et la vérité et on ne peut pas développer la capacité d'empathie envers l'autre.
Cela me fait revenir vers tous ces enfants, adolescents dont on ne tient pas compte et dont on ne respecte pas les besoins essentiels qui sont d'être reconnu, écouté et aimé pour ce qu'ils sont.
Avez-vous déjà entendu comment de nombreux parents d'aujourd'hui parlent à leurs enfants, avez-vous prête attention à ce Son ?
Toute une violence verbale, des ordres donnés en hurlant, si peu d'attention et de réponses aux questions souvent posées, toutes ces promesses non tenues, mensonges et chantage sous toutes ses formes....Mais où est l'amour? Où est le respect de soi et de l'autre?
Ce sont souvent des vibrations qui font frémir, rabaissent, salissent, pourrissent ce qui est si Beau à l'intérieur d'un enfant, elle sont comme des gouttes d'arsenic, du poison dilué qui coupe de l'Etre et de la vie. Elles sont si courantes aujourd'hui...alors ne nous demandons pas pourquoi ça va si mal , pourquoi il n'y a plus de respect.
Nous oublions que la violence se perpétue sans limite et que la vengeance s'imite.
l'Homme retrouvera t-il un jour un peu de dignité et d'amour pour lui-même?
Sur ces mots d'espoir, je vous retrouve trés bientôt....
L'amour rend heureux, il fait vibrer de l'intérieur, il rend libre et joyeux, léger, il accompagne le partage, l'écoute, il est don de toutes choses, il est créateur et force de vie, il est confiance et spontanéité, enfin il est lumière et sagesse. Il n'y a pas vraiment de mots pour le définir, il est tout, il se vit et parfois quand il est trop fort, il peut même faire mal....Il est la Vie, il est respect, il est tout puissant.
Sans avoir connu l'amour, sans avoir été touché par lui, on ne peut pas faire la différence entrele bien et le mal, entre le crime et la bonne action, entre le mensonge et la vérité et on ne peut pas développer la capacité d'empathie envers l'autre.
Cela me fait revenir vers tous ces enfants, adolescents dont on ne tient pas compte et dont on ne respecte pas les besoins essentiels qui sont d'être reconnu, écouté et aimé pour ce qu'ils sont.
Avez-vous déjà entendu comment de nombreux parents d'aujourd'hui parlent à leurs enfants, avez-vous prête attention à ce Son ?
Toute une violence verbale, des ordres donnés en hurlant, si peu d'attention et de réponses aux questions souvent posées, toutes ces promesses non tenues, mensonges et chantage sous toutes ses formes....Mais où est l'amour? Où est le respect de soi et de l'autre?
Ce sont souvent des vibrations qui font frémir, rabaissent, salissent, pourrissent ce qui est si Beau à l'intérieur d'un enfant, elle sont comme des gouttes d'arsenic, du poison dilué qui coupe de l'Etre et de la vie. Elles sont si courantes aujourd'hui...alors ne nous demandons pas pourquoi ça va si mal , pourquoi il n'y a plus de respect.
Nous oublions que la violence se perpétue sans limite et que la vengeance s'imite.
l'Homme retrouvera t-il un jour un peu de dignité et d'amour pour lui-même?
Sur ces mots d'espoir, je vous retrouve trés bientôt....
mardi 6 juillet 2010
Rencontre avec moi-même
Bonjour, me revoilà!
Aujourd'hui, j'ai envie de vous partager comment je suis "tombée" pour la première fois en moi-même, en mon centre, dans des profondeurs qui vont venir bousculer ma vie et me mettre sur ce chemin dont je parlais plus haut.
Je cherchais une formation à suivre et mon souhait étant d'aider un jour les autres, c'est ainsi que je m'inscrivis à une session d'une semaine auprés d'un organisme en relations humaines.
Ce stage avait lieu dans une maison d'accueil de religieuses comme il y en a beaucoup maintenant, à une centaine de kms de chez moi, et comme l'idée d'être hébergée sur place m'effrayait un peu , je décidais de faire le trajet chaque jour.
Me voici dans un groupe de seize personnes et comme tout le monde, je dus me présenter, quelle angoisse!...Celle de l'école qui revenait....Mon attention fut retenue par deux personnages, tout d'abord un homme jeune, conseiller d'entreprise, qui disait avoir une femme, une maison, une belle voiture et ne pas être heureux...Puis une femme, d'âge moyen qui, elle, était professeur d'histoire et de géographie.
Bloc de papier, crayons, nous commençons à travailler. Travail sur une sensation qui nous est propre...Aie ! Aie ! Je n'avais pas prévu cela, le néant, je venais chercher un outil pour aider les autres et je me retrouvais face à moi-même , devant mon propre miroir...
Une petite voix me dit alors: "On t'a toujours dit que tu étais triste" Est-ce une sensation? Bien sûr, alors au boulot et sur le papier!
Comment vous expliquer?
C'était comme si je descendais dans un trou et au fur et à mesure de la descente, je ressentais ce que je vivais, c'était tout un contenu, oui, je venais en effet d'avoir accés à toute une souffrance enfouie de mon enfance et cela libéra immédiatement en moi un espace où je réalisais en conscience que je transposais cette souffrance sur les autres au lieu de m'occuper de la mienne. En un mot, j'étais à côté de la plaque , je venais de vivre un retour sur moi de toute beauté!
A la fin de cette première journée, je me souviendrais toujours de ce retour dans ma petite voiture qui dansait sur la route, j'avais mis du Mozart et je me sentais si légère !!!!!
Pour en revenir aux deux personnes qui m'avaient marquée à l'arrivée, cette femme professeur mit quatre jours à ne rien écrire sur sa feuille, elle bloquait littéralement et ne ressentait rien ou ne se laissait rien ressentir et ce quatrième jour, elle se mit simplement à pleurer, elle acceptait sans doute de lâcher un tout petit peu ce qu'elle maîtrisait tant de sa vie. Quant à l'homme jeune, j'assistais à une véritable naissance alors que nous étions au bilan du dernier jour, il se mit tout à coup à pleurer en hurlant: "J'existe!"Je me souviendrais toujours de cet homme qui avait découvert le vivant en lui, c'était si beau!
C'est donc ainsi que je venais de répondre à cette petite voix au fond de moi dont je vous parlais précédemment à la lecture de ce livre, je venais durant ces huit jours d'aller au fond, j'avais découvert la tristesse, l'impuissance, la fragilité d'une toute petite fille qui faisait désormais partie intégrante de ma personne, j'avais aussi découvert la joie, la paix et une si belle énergie d'amour, un fluide merveilleux qui nous transporte, plus question désormais d'échapper à la réalité de ma propre vie, plus question d'illusion ou de mensonge avec moi-même.
Au sein de nombreux stages, je vais ainsi cheminer, m'ancrant peu à peu dans une solidité intérieure qui allait me permettre de m'ouvrir paisiblement aux autres.
Je m'arrête pour aujourd'hui, à bientôt.
Aujourd'hui, j'ai envie de vous partager comment je suis "tombée" pour la première fois en moi-même, en mon centre, dans des profondeurs qui vont venir bousculer ma vie et me mettre sur ce chemin dont je parlais plus haut.
Je cherchais une formation à suivre et mon souhait étant d'aider un jour les autres, c'est ainsi que je m'inscrivis à une session d'une semaine auprés d'un organisme en relations humaines.
Ce stage avait lieu dans une maison d'accueil de religieuses comme il y en a beaucoup maintenant, à une centaine de kms de chez moi, et comme l'idée d'être hébergée sur place m'effrayait un peu , je décidais de faire le trajet chaque jour.
Me voici dans un groupe de seize personnes et comme tout le monde, je dus me présenter, quelle angoisse!...Celle de l'école qui revenait....Mon attention fut retenue par deux personnages, tout d'abord un homme jeune, conseiller d'entreprise, qui disait avoir une femme, une maison, une belle voiture et ne pas être heureux...Puis une femme, d'âge moyen qui, elle, était professeur d'histoire et de géographie.
Bloc de papier, crayons, nous commençons à travailler. Travail sur une sensation qui nous est propre...Aie ! Aie ! Je n'avais pas prévu cela, le néant, je venais chercher un outil pour aider les autres et je me retrouvais face à moi-même , devant mon propre miroir...
Une petite voix me dit alors: "On t'a toujours dit que tu étais triste" Est-ce une sensation? Bien sûr, alors au boulot et sur le papier!
Comment vous expliquer?
C'était comme si je descendais dans un trou et au fur et à mesure de la descente, je ressentais ce que je vivais, c'était tout un contenu, oui, je venais en effet d'avoir accés à toute une souffrance enfouie de mon enfance et cela libéra immédiatement en moi un espace où je réalisais en conscience que je transposais cette souffrance sur les autres au lieu de m'occuper de la mienne. En un mot, j'étais à côté de la plaque , je venais de vivre un retour sur moi de toute beauté!
A la fin de cette première journée, je me souviendrais toujours de ce retour dans ma petite voiture qui dansait sur la route, j'avais mis du Mozart et je me sentais si légère !!!!!
Pour en revenir aux deux personnes qui m'avaient marquée à l'arrivée, cette femme professeur mit quatre jours à ne rien écrire sur sa feuille, elle bloquait littéralement et ne ressentait rien ou ne se laissait rien ressentir et ce quatrième jour, elle se mit simplement à pleurer, elle acceptait sans doute de lâcher un tout petit peu ce qu'elle maîtrisait tant de sa vie. Quant à l'homme jeune, j'assistais à une véritable naissance alors que nous étions au bilan du dernier jour, il se mit tout à coup à pleurer en hurlant: "J'existe!"Je me souviendrais toujours de cet homme qui avait découvert le vivant en lui, c'était si beau!
C'est donc ainsi que je venais de répondre à cette petite voix au fond de moi dont je vous parlais précédemment à la lecture de ce livre, je venais durant ces huit jours d'aller au fond, j'avais découvert la tristesse, l'impuissance, la fragilité d'une toute petite fille qui faisait désormais partie intégrante de ma personne, j'avais aussi découvert la joie, la paix et une si belle énergie d'amour, un fluide merveilleux qui nous transporte, plus question désormais d'échapper à la réalité de ma propre vie, plus question d'illusion ou de mensonge avec moi-même.
Au sein de nombreux stages, je vais ainsi cheminer, m'ancrant peu à peu dans une solidité intérieure qui allait me permettre de m'ouvrir paisiblement aux autres.
Je m'arrête pour aujourd'hui, à bientôt.
samedi 3 juillet 2010
C'est quoi, l'Etre?
Je viens de parler de l'adolescent qui s'enferme dans le silence, qui ne peut exprimer ce qu'il ressent et qui en souffre profondément. Précédemment, je parlais de l'envie que j'avais d'aller chercher ce que je sentais "beau tout au fond de moi.".. et qui paraissait aussi enfermé, mais de quoi s'agit-il ?
Il s'agit de notre Etre, notre Etre profond, celui sur lequel la vie se referme si nous ne pouvons exprimer ce que nous ressentons. En effet, son seul accés est la Sensation qui est la seule à nous conduire dans ce tréfonds de nous-même là où se trouve le noyau de notre personnalité, la racine en nous de tout ce qui est positif, là où se trouvent la paix, l'harmonie, nos potentialités et aspirations tout comme nos certitudes et évidences qui donnent sens à notre existence.
C'est en ce lieu que règnent l'ordre et l'amour, substance fondamentale de la vie d'où tout se déploie, en ce lieu que peuvent s'expérimenter les joies les plus fondamentales de l'existence.
Coupé de cette écoute intérieure et de son accomplissement dynamique, nous ne pouvons que nous retrouver désorienté, soumis à notre environnement, ne sachant pas qui l'on Est, sans personnalité, sans références personnelles, dans un sentiment d'inexistence avec du vide intérieur.
Il n'y a en effet plus d'accés à la source de vie et à son évolution.
Cette notion d'Etre se retrouve dans beaucoup d'anthropologies, elle va se nommer âme chez les chrétiens, hara chez les orientaux, moi profond chez Carl Rogers, l'Etre chez Maslow, Durckeim, Erich Fromm, etc.
C'est parce qu'il ignore bien souvent qui il Est, aspiré par le vide, sans solution à sa portée, qu'un ado va chercher à se suicider et que de façon générale, l'Homme ne s'aime pas!Il faut s'aimer soi-même et aimer la vie pour aimer l'autre...
Il s'agit de notre Etre, notre Etre profond, celui sur lequel la vie se referme si nous ne pouvons exprimer ce que nous ressentons. En effet, son seul accés est la Sensation qui est la seule à nous conduire dans ce tréfonds de nous-même là où se trouve le noyau de notre personnalité, la racine en nous de tout ce qui est positif, là où se trouvent la paix, l'harmonie, nos potentialités et aspirations tout comme nos certitudes et évidences qui donnent sens à notre existence.
C'est en ce lieu que règnent l'ordre et l'amour, substance fondamentale de la vie d'où tout se déploie, en ce lieu que peuvent s'expérimenter les joies les plus fondamentales de l'existence.
Coupé de cette écoute intérieure et de son accomplissement dynamique, nous ne pouvons que nous retrouver désorienté, soumis à notre environnement, ne sachant pas qui l'on Est, sans personnalité, sans références personnelles, dans un sentiment d'inexistence avec du vide intérieur.
Il n'y a en effet plus d'accés à la source de vie et à son évolution.
Cette notion d'Etre se retrouve dans beaucoup d'anthropologies, elle va se nommer âme chez les chrétiens, hara chez les orientaux, moi profond chez Carl Rogers, l'Etre chez Maslow, Durckeim, Erich Fromm, etc.
C'est parce qu'il ignore bien souvent qui il Est, aspiré par le vide, sans solution à sa portée, qu'un ado va chercher à se suicider et que de façon générale, l'Homme ne s'aime pas!Il faut s'aimer soi-même et aimer la vie pour aimer l'autre...
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