Bonsoir,
Mais non ! Je n'ai pas délaissé mon blog !....J'ai simplement du l'abandonner quelque temps, j'ai fait une pause comme on dit pour mieux revenir...
Alors à trés trés bientôt.
mercredi 6 avril 2011
mercredi 16 mars 2011
Priez pour le Japon...
Bonsoir,
Alors que j'écrivais ce dernier texte, j'étais à des lieues d'imaginer ce qui allait se passer le lendemain au Japon et depuis ce vendredi, je suis avec une immense tristesse ce que ce pays subit actuellement.
Par l'intermédiaire de ma fille aînée dont c'est le pays de coeur, j'ai appris à connaître ses habitants, à en découvrir sa beauté et ses coutumes et pour ceux que cela intéresserait, vous pouvez aller consulter son blog "Les jardins de Sanuki".
La Vie n'accepte plus l'irrespect dans lequel l'Homme la plonge et c'est à croire qu'elle n'a que ce moyen là pour l'interpeller...Je pense à toutes ces âmes qui se sont sacrifiées pour notre Devenir d'homme et de femme..Merci à elles du fond de mon coeur.
J'espère que demain sera un jour meilleur...et que l'Homme tirera leçon de cette si grande épreuve.
Alors que j'écrivais ce dernier texte, j'étais à des lieues d'imaginer ce qui allait se passer le lendemain au Japon et depuis ce vendredi, je suis avec une immense tristesse ce que ce pays subit actuellement.
Par l'intermédiaire de ma fille aînée dont c'est le pays de coeur, j'ai appris à connaître ses habitants, à en découvrir sa beauté et ses coutumes et pour ceux que cela intéresserait, vous pouvez aller consulter son blog "Les jardins de Sanuki".
La Vie n'accepte plus l'irrespect dans lequel l'Homme la plonge et c'est à croire qu'elle n'a que ce moyen là pour l'interpeller...Je pense à toutes ces âmes qui se sont sacrifiées pour notre Devenir d'homme et de femme..Merci à elles du fond de mon coeur.
J'espère que demain sera un jour meilleur...et que l'Homme tirera leçon de cette si grande épreuve.
jeudi 10 mars 2011
L'éther de ma naissance...
Bonsoir...Je suis heureuse de venir vous retrouver, ces temps d'écriture m'ont manqué.
J'ai du vivre des choses difficiles dont je vous parlerais peut-être un jour, je remonte la pente comme on dit, et c'est une vraie joie de ressentir les touches du clavier sous mes doigts et de voir défiler à nouveau les mots...J'espère que vous allez tous bien et que vous profitez de ce printemps nouveau.
Je vous disais donc que je désirais vous parler de l'éther avec lequel on anesthésia ma mère en m'imposant un immobilisme forcé, une substance qui allait m"engourdir "avant que les forceps ne viennent me chercher en marquant profondément ma chair et qui furent les deux premières sensations qui touchèrent mon système nerveux à l'entrée de ma vie, sensations bien particulières et trés éloignées d'une peau bienfaitrice et chaude , d'un sein accueillant ou encore de bras enveloppants et sécurisants.
Premier contact de froid, de dureté, engourdissement de ma belle force de vie sans compter une immense solitude, une immense déception, beaucoup de peur, tout cela sans doute sublimé ensuite et heureusement par l'amour que je reçus de ma grand-mère.
A propos de cette substance qu'est l'éther, j'allais apprendre que les Anciens le considéraient comme un fluide impondérable,c'est à dire sans poids décelable, qui remplit les espaces situés au-delà de l'atmosphère terrestre et qui est agent transmetteur de lumière. J'apprenais aussi qu'il modifie le rôle du filtre du cortex cérébral en changeant la quantité d'information en provenance de la source, son action étant sélective sur les sinapses et les neuromédiateurs qui transmettent l'influx nerveux autrement dit, c'est comme si le filtre s'ouvrair comme un diaphragme de caméra permettant de faire rentrer la lumière. C'est ainsi que la conscience cosmique totale peut inhiber la conscience partielle actualisée dans le temps entropique.
Aujourd'hui, j'ai vraiment le sentiment que cette douce lumière dans laquelle je me laissais aller, immerger en quelque sorte, était comme une source de vie, sans doute était-ce une paix dans laquelle je plongeais ou replongeais qui me permettait de tenir le coup au sein de mon impuissance et de ma peur.
Et puis était-ce ce premier contact avec l'éther qui avait permis ce chemin détourné de mes syncopes? Peut-être...
Petite, je n'ai pas de souvenir d'avoir eu peur, le mental n'étant pas développé.
J'ai du vivre des choses difficiles dont je vous parlerais peut-être un jour, je remonte la pente comme on dit, et c'est une vraie joie de ressentir les touches du clavier sous mes doigts et de voir défiler à nouveau les mots...J'espère que vous allez tous bien et que vous profitez de ce printemps nouveau.
Je vous disais donc que je désirais vous parler de l'éther avec lequel on anesthésia ma mère en m'imposant un immobilisme forcé, une substance qui allait m"engourdir "avant que les forceps ne viennent me chercher en marquant profondément ma chair et qui furent les deux premières sensations qui touchèrent mon système nerveux à l'entrée de ma vie, sensations bien particulières et trés éloignées d'une peau bienfaitrice et chaude , d'un sein accueillant ou encore de bras enveloppants et sécurisants.
Premier contact de froid, de dureté, engourdissement de ma belle force de vie sans compter une immense solitude, une immense déception, beaucoup de peur, tout cela sans doute sublimé ensuite et heureusement par l'amour que je reçus de ma grand-mère.
A propos de cette substance qu'est l'éther, j'allais apprendre que les Anciens le considéraient comme un fluide impondérable,c'est à dire sans poids décelable, qui remplit les espaces situés au-delà de l'atmosphère terrestre et qui est agent transmetteur de lumière. J'apprenais aussi qu'il modifie le rôle du filtre du cortex cérébral en changeant la quantité d'information en provenance de la source, son action étant sélective sur les sinapses et les neuromédiateurs qui transmettent l'influx nerveux autrement dit, c'est comme si le filtre s'ouvrair comme un diaphragme de caméra permettant de faire rentrer la lumière. C'est ainsi que la conscience cosmique totale peut inhiber la conscience partielle actualisée dans le temps entropique.
Aujourd'hui, j'ai vraiment le sentiment que cette douce lumière dans laquelle je me laissais aller, immerger en quelque sorte, était comme une source de vie, sans doute était-ce une paix dans laquelle je plongeais ou replongeais qui me permettait de tenir le coup au sein de mon impuissance et de ma peur.
Et puis était-ce ce premier contact avec l'éther qui avait permis ce chemin détourné de mes syncopes? Peut-être...
Petite, je n'ai pas de souvenir d'avoir eu peur, le mental n'étant pas développé.
dimanche 13 février 2011
Les syncopes de mon enfance.
Bonjour,
Me revoilà enfin parmi vous, le temps passe si vite et écrire prend du temps. En ce moment, je ne vois pas les semaines passer et la fatigue de l'hiver se fait sentir mais le soleil est là et hier, j'ai vu et entendu les oies passer dans le ciel... Elles sont de retour et c'est toujours une trés grande joie pour moi.
J'ai toujours les larmes aux yeux lorsque je les vois passer, je me sens toujours trés émue par ce spectacle grandiose que la nature nous offre et durant quelques instants, dans le bruit sourd et lointain de leurs cris, je me laisse porter avec elles dans les rayons du soleil....
C'est le signe que le gros de l'hiver est terminé, d'ailleurs tout sort de terre dans le jardin...
Qui se rend compte de cela dans les villes et au milieu du béton?C'est un spectacle qui devrait être offert à tous les enfants du monde, cette attention portée au renouveau de la nature...
Les syncopes de mon enfance.
Je vais uniquement vous partager le vécu et le sentiments qui accompagnaient ces syncopes qui effrayaient tant ma mère et n'avaient pas d'explication aux regard de la médecine et des examens.
Si je décris en quelques mots le processus d'une syncope, voici ce qui se passe: Je sens que je vais partir, ça tourne, le froid arrive, de la glace même puis arrive un bourdonnement, un tintement de cloches plus ou moins fort et ma tête se met à tourner comme une toupie. C'est alors que je rentre dans une spirale qui m'entraîne dans une sorte de tunnel trés sombre et ça va à une vitesse folle. C'est un passage assez désagréable puis, d'un seul coup, je me retrouve dans une atmosphère blanche, dorée, cristalline, extrêmement paisible dans laquelle j'ai la sensation d'être et ne pas être parce là, le temps n'existe plus.
Puis, j'entends à nouveau des voix autour de moi et je reviens à moi.
Cette expérience que je connais bien et dont je n'ai jamais eu peur me fait observer aujourd'hui qu'elle a une similitude avec celle que j'ai revécue à travers ma naissance lorsque le bébé que je suis plane en arrivant, lorsqu'il atterrit comme dans de la ouate à la différence ressentie que le bébé n'a pas cette conscience d'être Soi; il s'agit seulement pour le bébé que j'étais d'un état heureux.
De par cette observation, il m'apparaît évident comme je le disais déjà dans ce blog qu'une conscience se crée sur cette Terre de par l'empreinte, l'imprégnation de l'expérience incarnée quelle qu'elle soit, accompagnée de son ressenti qui vient lui donner un centre, un fond, une consistance, une densité.
Je parlerais de l'expérience d'une Réalité ressentie qui crée la Conscience.
Aujourd'hui, j'ai vraiment le sentiment que cette douce lumière dans laquelle je me laissais aller, immerger en quelque sorte, était comme une source de vie, sans doute était-ce une paix dans laquelle je plongeais ou replongeais qui me permettait de tenir le coup au sein de mon impuissance et de ma peur.
J'allais ensuite découvrir que ces syncopes avaient une grande similitude avec ce que l'on appelle une N.D.E, ce passage dit amorcé à travers l'horizon qui passe sans discontinuité d'un espace-temps à l'autre, dans une sensation à la fois filante et immobile.
Oui, j'avais la sensation de passer dans un autre univers, une sorte d'océan de lumière pour revenir ensuite sur Terre sans pour autant la quitter! C'était comme irréel, je passais sans doute par un mur d'électrons, je n'étais pas perdue, c'est difficile d'expliquer avec des mots car c'est vraiment de l'ordre du ressenti, on est entraîné, on ne peut que se laisser aller tout en restant cependant avec soi, façon de parler ! et on revient...
La prochaîne fois,je parlerais de l'éther avec lequel on endormit ma mère à ma naissance et qui pourrait avoir un lien avec ce que je viens de vous partager...
En ce Dimanche, passez une bonne journée dans la joie, si possible. Un bon jeu de cartes ou de société, ça vous dirait?
A bientôt.
Me revoilà enfin parmi vous, le temps passe si vite et écrire prend du temps. En ce moment, je ne vois pas les semaines passer et la fatigue de l'hiver se fait sentir mais le soleil est là et hier, j'ai vu et entendu les oies passer dans le ciel... Elles sont de retour et c'est toujours une trés grande joie pour moi.
J'ai toujours les larmes aux yeux lorsque je les vois passer, je me sens toujours trés émue par ce spectacle grandiose que la nature nous offre et durant quelques instants, dans le bruit sourd et lointain de leurs cris, je me laisse porter avec elles dans les rayons du soleil....
C'est le signe que le gros de l'hiver est terminé, d'ailleurs tout sort de terre dans le jardin...
Qui se rend compte de cela dans les villes et au milieu du béton?C'est un spectacle qui devrait être offert à tous les enfants du monde, cette attention portée au renouveau de la nature...
Les syncopes de mon enfance.
Je vais uniquement vous partager le vécu et le sentiments qui accompagnaient ces syncopes qui effrayaient tant ma mère et n'avaient pas d'explication aux regard de la médecine et des examens.
Si je décris en quelques mots le processus d'une syncope, voici ce qui se passe: Je sens que je vais partir, ça tourne, le froid arrive, de la glace même puis arrive un bourdonnement, un tintement de cloches plus ou moins fort et ma tête se met à tourner comme une toupie. C'est alors que je rentre dans une spirale qui m'entraîne dans une sorte de tunnel trés sombre et ça va à une vitesse folle. C'est un passage assez désagréable puis, d'un seul coup, je me retrouve dans une atmosphère blanche, dorée, cristalline, extrêmement paisible dans laquelle j'ai la sensation d'être et ne pas être parce là, le temps n'existe plus.
Puis, j'entends à nouveau des voix autour de moi et je reviens à moi.
Cette expérience que je connais bien et dont je n'ai jamais eu peur me fait observer aujourd'hui qu'elle a une similitude avec celle que j'ai revécue à travers ma naissance lorsque le bébé que je suis plane en arrivant, lorsqu'il atterrit comme dans de la ouate à la différence ressentie que le bébé n'a pas cette conscience d'être Soi; il s'agit seulement pour le bébé que j'étais d'un état heureux.
De par cette observation, il m'apparaît évident comme je le disais déjà dans ce blog qu'une conscience se crée sur cette Terre de par l'empreinte, l'imprégnation de l'expérience incarnée quelle qu'elle soit, accompagnée de son ressenti qui vient lui donner un centre, un fond, une consistance, une densité.
Je parlerais de l'expérience d'une Réalité ressentie qui crée la Conscience.
Aujourd'hui, j'ai vraiment le sentiment que cette douce lumière dans laquelle je me laissais aller, immerger en quelque sorte, était comme une source de vie, sans doute était-ce une paix dans laquelle je plongeais ou replongeais qui me permettait de tenir le coup au sein de mon impuissance et de ma peur.
J'allais ensuite découvrir que ces syncopes avaient une grande similitude avec ce que l'on appelle une N.D.E, ce passage dit amorcé à travers l'horizon qui passe sans discontinuité d'un espace-temps à l'autre, dans une sensation à la fois filante et immobile.
Oui, j'avais la sensation de passer dans un autre univers, une sorte d'océan de lumière pour revenir ensuite sur Terre sans pour autant la quitter! C'était comme irréel, je passais sans doute par un mur d'électrons, je n'étais pas perdue, c'est difficile d'expliquer avec des mots car c'est vraiment de l'ordre du ressenti, on est entraîné, on ne peut que se laisser aller tout en restant cependant avec soi, façon de parler ! et on revient...
La prochaîne fois,je parlerais de l'éther avec lequel on endormit ma mère à ma naissance et qui pourrait avoir un lien avec ce que je viens de vous partager...
En ce Dimanche, passez une bonne journée dans la joie, si possible. Un bon jeu de cartes ou de société, ça vous dirait?
A bientôt.
dimanche 30 janvier 2011
"La Vérité est comme un diamant à plusieurs facettes." Adage oriental
Bonjour...
Aujourd'hui, il fait froid, vous connaissez sans doute cette sensation de froid particulière qui annonce la neige...On a du mal à chauffer la maison, on a froid aux pieds, on a pas envie de bouger et plutôt envie de rester sous la couette...quand on a une !! Tout est gris, silencieux, les animaux ont froid eux aussi , seuls les merles s'activent en picorant des baies sauvages. Au loin des chasseurs hurlent, les chiens aboient, vivement que la chasse se termine.
Je vais en terminer aujourd'hui avec la maladie pour revenir à mes expériences et réflexions, aucun fait divers ne m'attirant actuellement pour en parler...
Pour résumer, par la maladie nous exposons notre mal-être, nous nous parlons à nous-même grâce à un langage intérieur qu'il est essentiel de savoir écouter. Rien n'est jamais anodin et surtout pas l'organe choisi ni l'endroit car il s'agit alors de comprendre tout bonnement ce à quoi il sert et quelle est sa fonction.
La douleur concrétise une émotion réelle, c'est la cristallisation d'une charge énergétique qu'il s'agit de traduire en la ressentant.
Comme je l'ai déjà dit, il s'agit d'un noeud à délier au sein de sentiments contradictoires répétés, souvent obscurs, d'attitudes que nous sommes souvent incapables de regarder, sur lesquelles nous butons régulièrement et qui sont à résoudre.
Nous avons à reconnaître et ça peut demander beaucoup de temps le sentiment lié à une situation qui nous a piegés jadis, c'est ce chemin que j'ai développé avec vous, jusqu'à vivre un jour totalement selon le désir secret de notre âme appelé par la Vie.
Pour cela, nous devons avoir accés à notre sensibilité, au langage particulier de cet état de tension nerveuse musculaire excessive et permanente comme dans le cas de la fibromyalgie qui nous emmène à une forme de dépression, de "manque de motivation "engendrant l'immobilité et dont les deux mots, les vibrations les plus fortes sont inexistence ( je parlais aussi de transparence)et impuissance...
Comme vous avez peut-être pu le lire précédemment dans mon aventure, ces deux mots ont fait partie de mon existence dés ma naissance. Aprés bien souvent des tentatives de liberté, des changements de vie, je me retrouvais à chaque fois piègée par l'Amour jusqu'à ce que cette maladie et sa souffrance me ramène enfin au déséquilibre de mes profondeurs et à leur Vérité.
Allez vers ce que vous n'avez pas fait ou pas pu faire et dont vous avez toujours eu envie!
Soyez toujours présent à la beauté de la Vie qui vous entoure.
Aujourd'hui, pour finir ce message du Dimanche, je veux dire merci à mes deux filles qui m'ont poussée à ouvrir ce blog qui me rend heureuse en partageant avec vous sur la vie et qui, je l'espère, vient donner un peu d'espérance, de joie et de bonheur dans une belle foi en cette Vie.
A trés vite...
Aujourd'hui, il fait froid, vous connaissez sans doute cette sensation de froid particulière qui annonce la neige...On a du mal à chauffer la maison, on a froid aux pieds, on a pas envie de bouger et plutôt envie de rester sous la couette...quand on a une !! Tout est gris, silencieux, les animaux ont froid eux aussi , seuls les merles s'activent en picorant des baies sauvages. Au loin des chasseurs hurlent, les chiens aboient, vivement que la chasse se termine.
Je vais en terminer aujourd'hui avec la maladie pour revenir à mes expériences et réflexions, aucun fait divers ne m'attirant actuellement pour en parler...
Pour résumer, par la maladie nous exposons notre mal-être, nous nous parlons à nous-même grâce à un langage intérieur qu'il est essentiel de savoir écouter. Rien n'est jamais anodin et surtout pas l'organe choisi ni l'endroit car il s'agit alors de comprendre tout bonnement ce à quoi il sert et quelle est sa fonction.
La douleur concrétise une émotion réelle, c'est la cristallisation d'une charge énergétique qu'il s'agit de traduire en la ressentant.
Comme je l'ai déjà dit, il s'agit d'un noeud à délier au sein de sentiments contradictoires répétés, souvent obscurs, d'attitudes que nous sommes souvent incapables de regarder, sur lesquelles nous butons régulièrement et qui sont à résoudre.
Nous avons à reconnaître et ça peut demander beaucoup de temps le sentiment lié à une situation qui nous a piegés jadis, c'est ce chemin que j'ai développé avec vous, jusqu'à vivre un jour totalement selon le désir secret de notre âme appelé par la Vie.
Pour cela, nous devons avoir accés à notre sensibilité, au langage particulier de cet état de tension nerveuse musculaire excessive et permanente comme dans le cas de la fibromyalgie qui nous emmène à une forme de dépression, de "manque de motivation "engendrant l'immobilité et dont les deux mots, les vibrations les plus fortes sont inexistence ( je parlais aussi de transparence)et impuissance...
Comme vous avez peut-être pu le lire précédemment dans mon aventure, ces deux mots ont fait partie de mon existence dés ma naissance. Aprés bien souvent des tentatives de liberté, des changements de vie, je me retrouvais à chaque fois piègée par l'Amour jusqu'à ce que cette maladie et sa souffrance me ramène enfin au déséquilibre de mes profondeurs et à leur Vérité.
Allez vers ce que vous n'avez pas fait ou pas pu faire et dont vous avez toujours eu envie!
Soyez toujours présent à la beauté de la Vie qui vous entoure.
Aujourd'hui, pour finir ce message du Dimanche, je veux dire merci à mes deux filles qui m'ont poussée à ouvrir ce blog qui me rend heureuse en partageant avec vous sur la vie et qui, je l'espère, vient donner un peu d'espérance, de joie et de bonheur dans une belle foi en cette Vie.
A trés vite...
Libellés :
déséquilibre,
désir secret de l'âme,
douleur,
émotion,
envie et beauté.,
fibromyalgie,
fonction de l'organe,
maladie,
noeud à délier,
piège,
ressentir,
vérité
jeudi 27 janvier 2011
Dugpa Rimpoché
"Méfie-toi des pensées négatives, car elles s'attaquent au corps et à l'esprit.
Elles sont les premiers symptômes du mal.
Guéris ton esprit si tu veux guérir ton corps."
Dugpa Rimpoché
Elles sont les premiers symptômes du mal.
Guéris ton esprit si tu veux guérir ton corps."
Dugpa Rimpoché
dimanche 23 janvier 2011
Je continue de cheminer à travers la candidose et la vitamine D....
Bonjour...Eh bien voilà une semaine qui est encore passée...
Je venais de vous partager mon anecdote espagnole mais l'aventure n'allait pas s'arrêter là; pendant mon court séjour à l'hôpital, j'avais reçu des antibiotiques à trés fortes doses que je dus continuer la semaine suivante comme c'est généralement le cas. J'allais alors me retrouver avec des symptômes que je ne connaissais pas et particulièrement la langue qui me brûlait. On me parle alors de champignon appelé "candida", une levure développée grâce aux antibiotiques, et là, je vais chercher comment m'en débarrasser sans médicament.
Je vais trés vite découvrir que les symptômes sont trés trés proches de ceux de la fibromyalgie, qu'apparemment ma "candidose"serait chronique, réveillée à mon attention, je dis bien, par cette forte prise d'antibiotiques...
Je vais alors me prendre au jeu, le défi l'emportant toujours ou presque chez moi et je vais commencer un régime appelé Seignalet ( nom du médecin) pour combattre cette levure qui a proliféré et prend trop de place...
J'ai une amie qui a aussi une fibromyalgie trés handicapante depuis une dizaine d'années et qui décide de me suivre dans cette nouvelle aventure.
On appelle ce régime celui de l'homme des cavernes par opposition à notre époque actuelle où tout ce que nous mangeons est raffiné et pollué particulièrement par le sucre.Or, le sucre est la nourriture du candida !
Voici l'ennemi à découvert, allons voir ce qu'il a "dans le ventre...!!"
Plus de lait, plus de gluten ni d'amidon....On va tout simplement à l'essentiel, on ne s'empoisonne plus....
Au bout de trois jours, l'énergie revient, le sucre ne manque pas, on s'en passe même trés bien, c'est assez incroyable. Ce régime nous apprend à nous respecter de l'intérieur et comme il est naturel et inné, nous mangeons à notre faim sans jamais manquer de quoi que ce soit.
Bien sûr les kgs en trop fondent trés vite, le corps semble heureux de ne plus être surchargé et nous fait son cadeau.. Au bout de six mois mon analyse de sang était excellente excepté une carence en vitamine D qui va venir me donner une confirmation...
La fibromyalgie est trés souvent une forme d'autodestruction reliée à une profonde culpabilité qui a ses racines dans l'enfance, d'où cette pollution relationnelle dont j'ai déjà parlé qui devient le sens même d'une vie à retourner dans son attitude la plus profonde...( Cette culpabilité n'est pas consciente mentalement, elle va se trouver dans les tréfonds d'une sensibilité blessée de premier ordre, autrement dit dés le tout jeune âge et même avant.)
La vitamine D, c'est la vitamine du soleil, de la chaleur, de la douceur et de la caresse sur la peau...Ne vient-elle pas nourrir notre squelette, nos os? Bizarre lorsque l'on sait que la fibromyalgie est une symptomatologie de douleurs musculosquelettiques diffuses qui font mal partout...
Or, c'est par le Stress répété et la complexité de l'émotion ressentie qui'elle vient se rappeler à nous de façon si subtile dans cette mémoire sensorielle oubliée de notre jeune vie....
Mais je vais en reparler trés vite dans un autre chapitre.
Justement aujourd'hui, le soleil manque, il fait froid, j'ai proposé à des amis de venir m'aider à faire un grand feu de branches mortes...
A trés vite...
Je venais de vous partager mon anecdote espagnole mais l'aventure n'allait pas s'arrêter là; pendant mon court séjour à l'hôpital, j'avais reçu des antibiotiques à trés fortes doses que je dus continuer la semaine suivante comme c'est généralement le cas. J'allais alors me retrouver avec des symptômes que je ne connaissais pas et particulièrement la langue qui me brûlait. On me parle alors de champignon appelé "candida", une levure développée grâce aux antibiotiques, et là, je vais chercher comment m'en débarrasser sans médicament.
Je vais trés vite découvrir que les symptômes sont trés trés proches de ceux de la fibromyalgie, qu'apparemment ma "candidose"serait chronique, réveillée à mon attention, je dis bien, par cette forte prise d'antibiotiques...
Je vais alors me prendre au jeu, le défi l'emportant toujours ou presque chez moi et je vais commencer un régime appelé Seignalet ( nom du médecin) pour combattre cette levure qui a proliféré et prend trop de place...
J'ai une amie qui a aussi une fibromyalgie trés handicapante depuis une dizaine d'années et qui décide de me suivre dans cette nouvelle aventure.
On appelle ce régime celui de l'homme des cavernes par opposition à notre époque actuelle où tout ce que nous mangeons est raffiné et pollué particulièrement par le sucre.Or, le sucre est la nourriture du candida !
Voici l'ennemi à découvert, allons voir ce qu'il a "dans le ventre...!!"
Plus de lait, plus de gluten ni d'amidon....On va tout simplement à l'essentiel, on ne s'empoisonne plus....
Au bout de trois jours, l'énergie revient, le sucre ne manque pas, on s'en passe même trés bien, c'est assez incroyable. Ce régime nous apprend à nous respecter de l'intérieur et comme il est naturel et inné, nous mangeons à notre faim sans jamais manquer de quoi que ce soit.
Bien sûr les kgs en trop fondent trés vite, le corps semble heureux de ne plus être surchargé et nous fait son cadeau.. Au bout de six mois mon analyse de sang était excellente excepté une carence en vitamine D qui va venir me donner une confirmation...
La fibromyalgie est trés souvent une forme d'autodestruction reliée à une profonde culpabilité qui a ses racines dans l'enfance, d'où cette pollution relationnelle dont j'ai déjà parlé qui devient le sens même d'une vie à retourner dans son attitude la plus profonde...( Cette culpabilité n'est pas consciente mentalement, elle va se trouver dans les tréfonds d'une sensibilité blessée de premier ordre, autrement dit dés le tout jeune âge et même avant.)
La vitamine D, c'est la vitamine du soleil, de la chaleur, de la douceur et de la caresse sur la peau...Ne vient-elle pas nourrir notre squelette, nos os? Bizarre lorsque l'on sait que la fibromyalgie est une symptomatologie de douleurs musculosquelettiques diffuses qui font mal partout...
Or, c'est par le Stress répété et la complexité de l'émotion ressentie qui'elle vient se rappeler à nous de façon si subtile dans cette mémoire sensorielle oubliée de notre jeune vie....
Mais je vais en reparler trés vite dans un autre chapitre.
Justement aujourd'hui, le soleil manque, il fait froid, j'ai proposé à des amis de venir m'aider à faire un grand feu de branches mortes...
A trés vite...
lundi 17 janvier 2011
C.G.Jung
"La maladie, c'est la parole d'un Dieu endormi, enfoui.
La maladie, c'est la partie la plus saine de votre personnalité."
La maladie, c'est la partie la plus saine de votre personnalité."
dimanche 16 janvier 2011
Ouvrir grandes les fenêtres....et respirer.
Bonjour,
J'écris moins souvent en ce moment mais la vie passe par là et ne m'autorise pas toujours cette démarche. Aujourd'hui Dimanche, je viens vous retrouver et j'en suis heureuse comme toujours.
Il y a un soleil magnifique qui a une toute nouvelle consistance et qui annonce doucement le printemps. C'est un soleil un peu dur, abrupt, tout jeune et direct qui vient comme redonner des forces à la nature, aux animaux et aux hommes...
Si je vous ai parlé en ce début d'année de maladie, c'est pour rappeler à quel point elle est là pour nous parler d'amour...La fragilité dans laquelle elle nous met fait tomber les barrières de notre mental et met à l'épreuve notre force intérieure, développant en nous un essentiel, celui d'aimer...qui passe d'abord par celui de nous aimer.
Pour revenir à mon expérience personnelle, je réalisais à quel point la fibromyalgie était venue s'installer dans mon corps et dans mon âme neuf années durant pour me permettre de retrouver l'axe vertical de ma vie.
Je devais m'arrêter dans cette retraite obligée et perdre ma sécurité financière pour accepter de changer et prendre une nouvelle direction.
En effet, et j'en ai déjà parlé, une fois notre passé retraversé, reconnu et intégré, arrive le moment où nous nous devons de l'énergétiser en tirant la leçon de toute cette expérience traumatique quelle qu'elle soit. Qu'avons-nous appris, que nous a t-elle démontré?
Et comment nous situons-nous aujourd'hui par rapport à lui, ce passé?
Sommes-nous dans la compassion, pouvons-nous pardonner?
C'est alors qu'une amie d'enfance va venir me faire un merveilleux cadeau, celui de m'emmener avec elle en Espagne, sur les bords de la Costa Brava...Je n'étais pas partie en vacances depuis de bien nombreuses années, on m'emmenait et on m'offrait tout...Un cadeau de la Vie. Seulement j'avais compté sans mes vertiges qui persistaient ( baisse d'audition à une oreille dûe à la fibro)... et alors que je remontais de la plage , je n'ai pas pu franchir un bloc de rocher , j'ai perdu l'équilibre et je me suis affalée en m'ouvrant tout un côté de la tête sur I5 cms.....Hôpital, recousue, grosse perte de sang, syncope, etc.
Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, je me sentais profondément choquée et cependant je peux dire aujourd'hui que cette épreuve m'avait sans doute été donnée pour me ramener à toute une humanité profonde oubliée quelque part en moi...
La vie avait choisi pour m'accompagner dans cette épreuve mon amie d'enfance et toute son affection, une Espagne tant aimée jadis que j'avais abandonnée pour suivre un homme, une maison magnifique, un service d'urgence à l'hôpital composé de jeunes médecins et infirmières tous aussi compétents et agréables les uns que les autres, dans mon petit malheur, j'avais été trés gâtée...
Aujourd'hui, il y a en moi une grande envie de tourner la page, une page que je croyais avoir tournée il y a vingt cinq ans mais je n'avais fait que fermer la porte pour me retrouver au plus profond de moi-même.
Une belle énergie que je me dois de protéger m'appartient plus que jamais et je sens arriver le temps où je vais ouvrir grandes les fenêtres sur le monde...
Le soleil m'appelle dehors, je vais aller goûter ses bons rayons.
Je vous retrouve trés vite, promis.
J'écris moins souvent en ce moment mais la vie passe par là et ne m'autorise pas toujours cette démarche. Aujourd'hui Dimanche, je viens vous retrouver et j'en suis heureuse comme toujours.
Il y a un soleil magnifique qui a une toute nouvelle consistance et qui annonce doucement le printemps. C'est un soleil un peu dur, abrupt, tout jeune et direct qui vient comme redonner des forces à la nature, aux animaux et aux hommes...
Si je vous ai parlé en ce début d'année de maladie, c'est pour rappeler à quel point elle est là pour nous parler d'amour...La fragilité dans laquelle elle nous met fait tomber les barrières de notre mental et met à l'épreuve notre force intérieure, développant en nous un essentiel, celui d'aimer...qui passe d'abord par celui de nous aimer.
Pour revenir à mon expérience personnelle, je réalisais à quel point la fibromyalgie était venue s'installer dans mon corps et dans mon âme neuf années durant pour me permettre de retrouver l'axe vertical de ma vie.
Je devais m'arrêter dans cette retraite obligée et perdre ma sécurité financière pour accepter de changer et prendre une nouvelle direction.
En effet, et j'en ai déjà parlé, une fois notre passé retraversé, reconnu et intégré, arrive le moment où nous nous devons de l'énergétiser en tirant la leçon de toute cette expérience traumatique quelle qu'elle soit. Qu'avons-nous appris, que nous a t-elle démontré?
Et comment nous situons-nous aujourd'hui par rapport à lui, ce passé?
Sommes-nous dans la compassion, pouvons-nous pardonner?
C'est alors qu'une amie d'enfance va venir me faire un merveilleux cadeau, celui de m'emmener avec elle en Espagne, sur les bords de la Costa Brava...Je n'étais pas partie en vacances depuis de bien nombreuses années, on m'emmenait et on m'offrait tout...Un cadeau de la Vie. Seulement j'avais compté sans mes vertiges qui persistaient ( baisse d'audition à une oreille dûe à la fibro)... et alors que je remontais de la plage , je n'ai pas pu franchir un bloc de rocher , j'ai perdu l'équilibre et je me suis affalée en m'ouvrant tout un côté de la tête sur I5 cms.....Hôpital, recousue, grosse perte de sang, syncope, etc.
Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, je me sentais profondément choquée et cependant je peux dire aujourd'hui que cette épreuve m'avait sans doute été donnée pour me ramener à toute une humanité profonde oubliée quelque part en moi...
La vie avait choisi pour m'accompagner dans cette épreuve mon amie d'enfance et toute son affection, une Espagne tant aimée jadis que j'avais abandonnée pour suivre un homme, une maison magnifique, un service d'urgence à l'hôpital composé de jeunes médecins et infirmières tous aussi compétents et agréables les uns que les autres, dans mon petit malheur, j'avais été trés gâtée...
Aujourd'hui, il y a en moi une grande envie de tourner la page, une page que je croyais avoir tournée il y a vingt cinq ans mais je n'avais fait que fermer la porte pour me retrouver au plus profond de moi-même.
Une belle énergie que je me dois de protéger m'appartient plus que jamais et je sens arriver le temps où je vais ouvrir grandes les fenêtres sur le monde...
Le soleil m'appelle dehors, je vais aller goûter ses bons rayons.
Je vous retrouve trés vite, promis.
mardi 11 janvier 2011
"La maladie permet de se ressourcer." par Marguerite Kardos.
Suivant la tradition chinoise...
Lorsque nous disons:"Je manque d'énergie."et que je me plains de ne pouvoir assumer tout ce que je voudrais faire, je ne me rends pas compte qu'il s'agit aussi d'une merveilleuse occasion de me replier et de me ressourcer.
La fatigue en effet me questionne sur le sens de ma vie, sur ma façon de répartir mes heures de travail et de repos, sur mes aspirations profondes ou sur mes dépendances et aussi sur ma façon de me nourrir- ce qui comprend les images, les sons, les paroles ou les pensées que j'absorbe.
L'Occident découvre de plus en plus que le dehors commence dans la profondeur du dedans...
En effet, je ne suis pas seulement un être biologique appartenant à une famille, à une société, à une culture dont je suis responsable, je suis également fait d'énergie incréée, non substancielle dont je suis responsable ayant comme vous tous un mandat céleste, une tâche individuelle à accomplir sur cette terre. Il se trouve que souvent, nous ne savons pas entendre, venant du fond de nous, cette voix qui nous inspire notre tâche singulière.
Or, la maladie peut précisément nous servir à affiner cette écoute.
Seules les difficultés nous font mûrir, grandir, évoluer, nous rendent plus humble en nous permettant de percevoir notre "scénario" de vie.
Guérir, c'est traverser les épreuves, c'est apprendre à transformer, chacun à sa manière unique, l'obscurité en lumière. C'est "réveiller le secret du coeur", c'est se relier à son enracinement au secret de son être, c'est une exhortation à se mettre debout!
Mais comment entendre le "secret de mon coeur"si je suis "emmuré"dans ma vérité monolithique et ma certitude infaillible...Y a t-il pire calamité que de ne jamais se remettre en question?
Pour la médecine sumérienne, dont je vous ai déjà parlé, la santé se repère à trois critères, trois dons:
savoir remercier ( pour tout ce qui nous arrive), savoir pardonner, savoir être joyeux. La première cause de la maladie est le non-pardon ( à soi-même ou à autrui).
Qu'est-ce qui nous empêche de pardonner?
Puis il s'agit de décrire le trouble, les symptômes, de replacer notre histoire personnelle dans une méta-histoire, symbolique, mythique et cela opère en nous une véritable délivrance lorsque nous devenons responsable de notre santé.
La seule question qui compte finalement est de savoir si je sers la vie, donc l'amour...
Savez-vous aimer?
Lorsque nous disons:"Je manque d'énergie."et que je me plains de ne pouvoir assumer tout ce que je voudrais faire, je ne me rends pas compte qu'il s'agit aussi d'une merveilleuse occasion de me replier et de me ressourcer.
La fatigue en effet me questionne sur le sens de ma vie, sur ma façon de répartir mes heures de travail et de repos, sur mes aspirations profondes ou sur mes dépendances et aussi sur ma façon de me nourrir- ce qui comprend les images, les sons, les paroles ou les pensées que j'absorbe.
L'Occident découvre de plus en plus que le dehors commence dans la profondeur du dedans...
En effet, je ne suis pas seulement un être biologique appartenant à une famille, à une société, à une culture dont je suis responsable, je suis également fait d'énergie incréée, non substancielle dont je suis responsable ayant comme vous tous un mandat céleste, une tâche individuelle à accomplir sur cette terre. Il se trouve que souvent, nous ne savons pas entendre, venant du fond de nous, cette voix qui nous inspire notre tâche singulière.
Or, la maladie peut précisément nous servir à affiner cette écoute.
Seules les difficultés nous font mûrir, grandir, évoluer, nous rendent plus humble en nous permettant de percevoir notre "scénario" de vie.
Guérir, c'est traverser les épreuves, c'est apprendre à transformer, chacun à sa manière unique, l'obscurité en lumière. C'est "réveiller le secret du coeur", c'est se relier à son enracinement au secret de son être, c'est une exhortation à se mettre debout!
Mais comment entendre le "secret de mon coeur"si je suis "emmuré"dans ma vérité monolithique et ma certitude infaillible...Y a t-il pire calamité que de ne jamais se remettre en question?
Pour la médecine sumérienne, dont je vous ai déjà parlé, la santé se repère à trois critères, trois dons:
savoir remercier ( pour tout ce qui nous arrive), savoir pardonner, savoir être joyeux. La première cause de la maladie est le non-pardon ( à soi-même ou à autrui).
Qu'est-ce qui nous empêche de pardonner?
Puis il s'agit de décrire le trouble, les symptômes, de replacer notre histoire personnelle dans une méta-histoire, symbolique, mythique et cela opère en nous une véritable délivrance lorsque nous devenons responsable de notre santé.
La seule question qui compte finalement est de savoir si je sers la vie, donc l'amour...
Savez-vous aimer?
samedi 8 janvier 2011
Trés bonne Année 2011
Bonjour à tous et toutes,
Tous mes voeux en cette toute nouvelle année 2011, qu'elle vous apporte joie, bonheur, partage, douceur, amour et paix tout au long de ses douze mois....
Pour ce qui est de la santé, je vais laisser Marguerite Kardos vous en parler....
Tous mes voeux en cette toute nouvelle année 2011, qu'elle vous apporte joie, bonheur, partage, douceur, amour et paix tout au long de ses douze mois....
Pour ce qui est de la santé, je vais laisser Marguerite Kardos vous en parler....
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